Entrepreneuriat jeune : Quand la jeunesse se conscientise
A koulikoro, Un groupe de jeune comme tant d’autre de la
capitale du meguetan s’emble avoir trouver une réponse à la fameuse problématique
liée au chômage des jeunes.
C’est le cas de ce groupe jeunes composé de cinq (5) jeunes gens qui sont : (M. Ibrahima Cissé, M. Sékou Maiga, M. Djakaridja Ouédraogo, M. Sery Coulibaly et M. Abdoulaye Diakité). Ce grain transformé en une entreprise de maraichage reste un exemple rare dans la ville de koulikoro. Pour cela la rédaction du meguetaninfos, l’information au cœur du développement, est allée à leurs rencontre.
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une parite de la surface maraichée |
Compte tenu de la situation géographique de la ville de koulikoro. Située entre la colline et le fleuve Niger. Ibrahima Cissé et ses quatre (4) amis ont vite compris. Qu’il faut profiter de ce don naturel. En faisant, le maraichage au basfond du fleuve Niger. Car la décente du niveau d’eau laisse un espace favorable pour ces genres d’activités.
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groupes des jeunes initiateurs |
Pour ce groupe jeunes, l’idée de ce projet est le fruit d’une
réflexion commune. Qui trouve sa source de faire face à la morosité d’activité
de la jeunesse autrement dit le chômage. ’’avec cette activité, on ne parlerait plus
le chômage ni l’idée d’aller en aventure.
Nous sommes des jeunes, nous avons vu avec cette activité nous serons
plus occupés et de faire un peu du profit. Certes nous menons tous des petites
activités mais celle-ci demeure une chance à ne pas manquer.’’ A laissé entendre M. Ibrahima Cissé, membre
du groupe. C’est ainsi que M. Cissé et ses quatre amis sont en cours d’aménager
un périmètre maraicher de 50m/30m.
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Puits mini Diamètre |
Sur le plan financière, les jeunes affirment de ne pas recevoir l’aide d’aucune autorité publique compétente du moins un particulier. C’est le groupe même qui assure juste là les charges.
‘’ pour le moment on a reçu l’aide de qui que ce soit. C’est nous même qui font les frais. Par la voie de cotisation, on cotise entre nous, on a fait pour l’aménagement de surface et aussi pour les semences.’’ A affirme M. Cissé Ibrahima. Il ajoute qu’il souhaite l’aide de toute personne morale et physique
‘’On souhaiterait avoir l’aide de toute personne de bonne volonté. Tant sur le plan technique, morale, humaine et surtout matériel. La moto pompe nous manque encore car on’ n’a pas ce fond pour acheter nous-même.’’
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les jeunes en pleines d'activité |
A noter ce que ce groupe jeunes entend faire pousser dans
leur planche. Les carottes, lèpres, étraves, haricot vert….
La multiplication de ces actions serait un moyen de donner
une confiance à la jeunesse aboutissant une prise de conscience sur la question
du chômage. L’exemple que donne le groupe jeune est à encourager.
BacTims
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